
d’immortelle froissée de livre de poche bouffi de temps humide de sol d’été après la pluie de beurre tiédi sur sa nuque de la première nuit dans les draps propres d’écorce de châtaigne brûlée du dernier parfum qu’elle a porté et que je n’ai jamais aimé de cave dans l’armoire en tissu enduit avec portes à fermeture Éclair où nous nous cachions pour des jeux interdits de linge chaud sous le fer de viande froide abandonnée dans l’assiette de poudre de riz mêlée de rance sur ses lèvres d’oignons frits à la fraîche de laisse de mer iodée de tourbe dans la maison d’Ouessant d’oyat tiède après l’orage de métal mouillé du Paris-Melun via Combs-la-Ville d’encens quand les courants d’air n’ont pas suffit à effacer l’odeur des Peter Stuyvesant rouges de l’eau de cuisson du riz de sièges de voiture ramollis sous la pinède d’encaustique en aérosol
Sympa ces de sans qu’on sache où on en est de l’énumération. Joli. Et merci aussi pour les Peter Stuyvesant.
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Merci Anne. Les cigarettes que fumait ma mère, qu’on achetait par lot de trois, paquets souples.
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