ouvre les fenêtrespour la danse sur les toits l’odeur de pierre froide pour le rouge triomphantpour ce qui me relie à lui, les palmiers, le bleu, cette époque làpour l’abandon fragilepour la dentelle des arbres brûlée au contre-jour ici on se cacherait pour les promesses tenues à l’ombre des arbres pour le vertige